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90eanniversaire de la Station de recherche 3 au 5 octobre 2008


Nos commanditaires



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Mot du ministre
C'est avec plaisir que je joins ma voix à l'ensemble des acteurs du milieu pour marquerle 90e anniversaire du Centre de recherche en sciences animales de Deschambault(CRSAD). Il s'agit là d'une réussite qui mérite d'être soulignée. Depuis sa fondation en1918, le Centre a grandement évolué et il est devenu une véritable institution, une orga-nisation influente et moderne qui jouit d'une réputation enviable au Canada en matièrede recherche en productions animales. En tant que partenaire privilégié, le Ministère est fier d'avoir contribué au développe-ment de cet établissement de recherche dont une des missions est de servir la collecti-vité agricole québécoise. Le CRSAD constitue en outre un moteur de développementéconomique en apportant une contribution essentielle à l'avancement des connaissanceset des pratiques dans toutes les sphères de l'industrie alimentaire.
J'invite les dirigeants et le personnel du Centre à poursuivre dans la même voie afin quecette organisation continue de jouer son rôle de chef de file quant au partage des con-naissances et du savoir. Félicitations et longue vie au Centre de recherche en sciences animales deDeschambault! Le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, ministre responsable des régions de Chaudière-Appalaches et du Centre-du-Québec et député de Frontenac, Mot du doyen
La Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation de l'Université Laval estheureuse de compter parmi les partenaires privilégiés des fêtes entourant le 90e anniver-saire de la ferme de Deschambault.
Depuis près de dix ans, l'Université Laval est associée avec le Ministère del'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation dans la gestion de la ferme, connuemaintenant comme le Centre de recherche en sciences animales de Deschambault ouCRSAD. Les recherches réalisées au CRSAD au cours des dernières années ont large-ment contribué au développement des productions animales tant au Québec qu'àl'échelle internationale. Elles ont aussi permis la formation des plusieurs dizaines d'étu-diants aux cycles supérieures en sciences animales.
Comme vous serez à même de le constater lors de votre visite, le CRSAD possède desinstallations de recherche très particulières et probablement uniques au monde. Il estrare, en effet, de trouver sur un même site une telle diversité. Mais vous pourrez surtoutréaliser que la force première du CRSAD réside dans les qualités professionnelles ethumaines de son personnel.
En célébrant son 90e anniversaire, le CRSAD s'inscrit dans la durée. Je souhaite ausecteur agroalimentaire québécois de pouvoir en profiter encore aussi longtemps. Le doyen de la Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentationde l'Université Laval photo : D. Du Sablon Mot du préfet
C'est avec beaucoup d'enthousiasme et de fierté que la MRC de Portneuf s'associe auxfestivités entourant le 90e anniversaire de fondation de la Station de recherche deDeschambault.
Les gens de Portneuf peuvent s'enorgueillir de compter sur leur territoire un établisse-ment gouvernemental dont les lettres de noblesse ne sont plus à faire. Grâce au dévoue-ment, à la compétence et au travail de la trentaine d'employés, sa réputation, des plusenviables, a atteint tout le Canada. Saluons la passion de ces chercheurs qui contribuentà améliorer la qualité de nos terres et la génétique de notre cheptel.
Pendant près d'un siècle, ce centre a connu une évolution significative. De pépinière àcentre de recherche en productions animales, son rayonnement d'envergure nationalebénéficie à l'ensemble de notre MRC. Merci et félicitations aux organisateurs.
Bienvenue aux visiteurs,Bonnes célébrations.
Le préfet de la MRC de Portneuf Michel Matte
Mot du maire
photo : Courrier de Portneuf Le domaine seigneurial d'Eschambault est au cœur de l'histoire de la municipalité. Bienque peu de témoins du Régime français aient subsisté en ces lieux, un riche patrimoinenous a été légué par ceux qui ont fait l'histoire de «La Ferme». Nommée Ferme-école, Station de recherche agricole ou, plus récemment, Centre derecherche en sciences animales, la grande et belle «terre» aura été au centre de l'histoirede l'agriculture au Québec. Des variétés horticoles, des races animales et des techniquesdiverses y ont en effet été conservées, améliorées, voire créées. Des fermiers d'ici et departout ont bénéficié de l'expertise développée afin de constituer les exploitations agri-coles qui continuent de nourrir le Québec.
Parmi les nombreux phénomènes qui sont liés à cette entreprise gouvernementale et quiont influencé le cours de notre histoire récente, je tiens à souligner tout particulièrementle dynamisme que la ferme a engendré dans la population. Grâce aux emplois généréspar la Ferme de Deschambault, des chercheurs, des techniciens et des ouvriers de toutesprovenances sont venus s'installer chez-nous depuis 90 ans. Ils ont fondé des famillesdont les descendants constituent aujourd'hui une part importante de la population deDeschambault-Grondines. C'est avec une amitié sincère que je salue tous ceux et celles qui ont participé à l'évolu-tion de la Ferme de Deschambault et qui prennent toujours une part active dans la viecontemporaine de la municipalité de Deschambault-Grondines.
Le maire de Deschambault-Grondines etprésident de l'Association des plus beaux villages du Québec Mot du président
Déjà 90 ans ! La Station de recherche de Deschambault fête cette année son 90e anniver-saire de fondation et elle n'a pas pris une ride. 90 ans de recherche en sciences végétaleset animales. 90 ans qui ont vu passer des expérimentations en divers domaines : enplantes fourragères, en productions maraîchère, horticole, apicole, avicole, bovinelaitière et bouchère, ovine, caprine et combien d'autres. 90 ans au service des produc-teurs agricoles d'ici et d'ailleurs. En 2009, le CRSAD fêtera ses 10 ans sous sa forme actuelle, 10 ans au cours desquelsj'ai pu observer de près l'évolution extraordinaire du Centre et à quel point il s'est forgéune réputation enviable dans la communauté scientifique québécoise et canadienne. Sila Station est toujours appelée «la Ferme» par les gens de la région, il n'en reste pasmoins qu'elle est devenue au fil des années un centre de recherche moderne, à la finepointe de la technologie et bien équipée pour répondre aux besoins de l'agriculture d'au-jourd'hui et de demain, toujours prête à faire face aux exigences toujours plus grandesdes consommateurs.
Profitez de cette fin de semaine pour vous renseigner sur nos activités en visitant nosinstallations et en discutant avec notre personnel et renouez avec le passé de la Fermeen admirant des spécimens de chevaux canadiens, de vaches canadiennes et de poulesChantecler en plus d'assister à des concours mettant en vedette les meilleurs chevaux duQuébec. Le président du CRSAD Luc Couture
À l'origine.
1En 1918, le gouvernement achète une partie de l'ancien domaine de La Gorgendière, 2à Deschambault, pour en faire une pépinière ; Dans les années 1930, le ministère de l'Agriculture décide de la transformer en une ferme-école orien-tée vers la production laitière ; La pépinière dans les années 20. La ferme se spécialise également dans la sauvegarde et le perfec-tionnement de plusieurs races dont le cheval canadien, la vachecanadienne, la dinde de Charlevoix et le mouton Nord Cheviot ; 4 Les premiers bâtiments de ferme en 1923. Les années 1960 marquent la modernisation de la ferme-école qui devient alors une véritable 5station de recherche agricole. Une quinzaine de bâtiments sont alors rénovés et érigés ; En 1986, la Station prend le nom de Service de recherche en zootechnie pour devenir, en 1997,le Centre de recherche et d'expérimentation deDeschambault ; L'ancien directeur André A. St-Pierre et un spécimen de cheval canadien. Enfin, en 1999, le MAPAQ et l'Université Laval signent une convention de 5 ans et officialisent la fondation du CRSAD. Ce dernier se voit ainsi confier la gestion des ressources mises en commun par les deux parte-naires fondateurs afin de faciliter le développement de la recherche en sciences animales.
Pelletée de terre pour souligner le début des tra- vaux de construction du pavillon administratif en 1988.
1Personnel : Une quarantaine de personnes, ouvriers agri-
coles, techniciens, professionnels et administrateurs, com-posent le personnel du CRSAD ; Le Dr Yvon Couture, de la Faculté de médecine vétérinaire 2 de l'Université de Montréal, fait un prélèvement sanguin sur un bouvillon. Récolte de foin dans un champ de la Station. Recherche : Le CRSAD est actif dans sept secteurs de
recherche : productions bovine, laitière, porcine, caprine, apicole, cunicole et avicole. Il possède des troupeaux per- Terres et cultures : La Station de recherche s'étend sur plus
manents de vaches laitières, de vaches de boucherie, de de 150 hectares de terres drainées. Près de 700 tonnes de chèvres laitières et de lapins en plus d'une centaine de matière sèche de fourrage et 140 tonnes de grains sont récoltés annuellement et destinées à l'alimentation des ani- Laboratoire : Situé dans le pavillon administratif, le
laboratoire permet l'analyse chimique et minérale
d'échantillons de fourrages, de grains, d'aliments du
bétail, d'eaux, de fumiers, etc.
5maux du Centre ;Équipements :Le Centre dispose d'un important
parc de machineries et d'équipements de ferme. Des équipements de recherche spécialisés tels qu'un «activimètre», un cribleur et un testeur à pollen, un appareil d'insémination des reines, des 6 «Calan gates» et un physiographe sont à la disposi- tion des chercheurs provenant de tous les horizons.
Bâtiments : La ferme comprend 13 bâtiments de
recherche, dont un clapier assaini et une unité de testage et d'expérimentation en alimentation porcine, totalisant près de 6000 mètres carrés de superficie de plancher ainsi que des structures d'entreposage de fumiers sous forme liquide et solide. Elle possède également un bâtiment de recherche en apiculture et pollinisation, un des seuls au Canada ; Une chèvre Alpine dans un parc doté de «Calan gates». Visite commentée de la Station Le Centre de recherche en sciences animales de Deschambault accueille des chercheurs de tous horizons. Il leur fournit du personnel
technique et ouvrier, des animaux ainsi que des installations et de l'équipement à la fine pointe afin de leur permettre de mener à bien
leurs projets. Le CRSAD ouvre aujourd'hui aux visiteurs cinq de ses bâtiments de recherche. Vous y verrez entre autres des vaches
de boucherie et leurs petits, des colonies d'abeilles et des chèvres curieuses. N'hésitez pas à interroger le personnel sur place sur le
comportement des animaux ainsi que sur les recherches qui s'y déroulent.
• Les visites auront lieu les vendredi, samedi et dimanche de 10h30 à 15h30 avec un départ des chapiteaux à toutes les heures.
• Veuillez noter que des parcelles de soya et de maïs de Syngenta pourront être visitées le vendredi seulement.

1. Étable froide de bovins de boucherie DC-0172
4. Étable de bovins laitiers DC-0104
À voir : bouvillons et lapins
À voir : vaches laitières
Capacité : 120 bouvillons Capacité : 30 vaches Technicienne responsable : Sarah Fillion Technicien responsable : Martin Tremblay Chargée de projet en cuniculture : Abida Ouyed Ouvrier : André Perreault 2. Étable froide de bovins de boucherie DC-0174
5. Unité de recherche caprine DC-0133
À voir : vaches de boucherie et veaux
À voir : chèvres laitières
Technicien responsable : Martin Tremblay Capacité : 6 boucs, 66 chèvres et leurs suites Ouvriers : Gilbert Genest et Daniel Gignac Ouvriers : Paul Montambault et Matthieu Picard 3. Station apicole DC-0158
À voir : abeilles
Capacité : 250 ruches
Technicen responsable : Émile Houle
Plan de la Station Centre de recherche en sciences animales de Deschambault • VISITES
1. Structure d'entreposage (fumiers solides) - DC-0181 2. Étable froide de bovins de boucherie (vache-veau) - DC-0174 • OUVERT
3. Étable de bovins de boucherie (bouvillons d'abattage) - DC-0172 • OUVERT
4. Étable de bovins laitiers - DC-0171 5. Parcs d'hivernage 6. Station apicole - DC-0158 • OUVERT
7. Pavillon administratif - DC-0151 8. Poulailler - DC-0149 9. Étable de bovins laitiers et laboratoire BABE (bilan agroenvironnemental des bâtiments d'élevage) - DC-0137 10. Chèvrerie - chèvres laitières - DC-0133 • OUVERT
11. Unité de testage et d'expérimentation en alimentation porcine - DC-0150 12. Clapier - DC-0131 13. Structure d'entreposage (fumiers liquides) - DC-0136 14. Étable de bovins laitiers - DC-0104 • OUVERT
15. Garage - DC-0115 16. Clapier assaini - DC-0111 Vendredi 3 octobre Journée consacrée aux races du patrimoine agricole
Apprenez-en plus sur le cheval canadien, la vache canadienne et la poule Chantecler! Retrouvez des sujets de chacune des races sous le chapiteau des races du patrimoine et discutezavec des éleveurs passionnés! 9h - Lancement officiel des festivités
10h à 16h - Concours de labour
3 catégories :• Old Timer• Professionnel• Amateur 13h à 16h - Concours d'habileté de chevaux - Inscriptions sur place
• Jeune présentation • Classe postier • Jeune avec cart • Chaise musicale • Parcours habileté en double 18h - Souper poulet BBQ - Billets en vente au coût de 15$
Dimanche 5 octobre 13h à 16h - Concours de traction chevaline
2 catégories :• Paire de 3400 lbs et moins• Paire de 3401 lbs et plus Le concours provincial de labour a été mis sur pied pour rendre • Apparence générale
hommage au travail agricole d'antan. Les tracteurs n'ont en effetpas toujours existé. Les agriculteurs d'autrefois, utilisaient, pour Toutes les herbes molles, mauvaises herbes et terreau doivent être les travaux aux champs, des chevaux attelés à une houe ou à une complètement enterrés. charrue. Les labours en automne n'échappaient pas à cette règle etce rude travail, essentiel à l'ameublement de la terre, constituait • Dressage et uniformité des sillons
une épreuve de force et d'adresse. C'est un peu ce que veut fairerevivre le concours provincial de labour organisé par le Comité Tous les sillons doivent être droits et uniformes en largeur et en conjoint des races chevalines. Les participants peuvent s'inscrire dans l'une destrois catégories suivantes : Old Timer, Professionnelet Amateur. Ils sont jugés selon plusieurs critèresdont: • La couronne
Les participants doivent effectuer trois tours etcreuser six sillons. Ils doivent s'y prendre de façon àce que chaque partie non coupée demeure sous les sil-lons. De plus, les sillons de départ doivent être droitset uniformes. • Lit d'ensemencement
Les sillons doivent être fermes les uns sur les autrespour qu'il n'y ait pas de cassure ou d'égratignure. • Empaquetage et étroississement
Les sillons doivent être solides et rapprochés sansouverture entre eux. • Forme du terrain
La relation de la couronne doit correspondre à l'assemblage du La profondeur indiquée dépendra de la qualité du sol pour assu- terrain labouré pour la finition. rer un meilleur semis. • Pour et contre
Finition
Toute terre intérieure du sillon doit être tournée avec un montant La finition devra être droite et libre du sol mou et de mauvaises minimum des dessus de terre étant retournée par la charrue. herbes. De plus, la profondeur ne devra pas surmonter la pro-fondeur moyenne du labour dans le champ, la ligne de labourdevra être surélevée. Ces divers concours d'habileté et d'adresse présentant à la fois • Classe postier
des cavaliers et leur monture, des conducteurs et leur attelage ontété créé par la Société hippique percheronne du Québec avec la Ce parcours rappelle la tâche des courriers d'autrefois. Habileté, collaboration du Comité conjoint des races chevalines. Cette fin endurance et vitesse sont nécessaires pour bien exécuter cette de semaine, ils sont toutefois ouverts à toutes les races. Les par- ticipants qui désirent s'inscrire peuvent le faire sous le chapiteauprincipal. Des prix récompenseront les meilleurs compétiteurs.
• Chaise musicale
Cette classe s'adresse à des cavaliers dont la maîtrise de leur monture nécessite habileté et rapidité dans un parcours prescrit.
• Brouette
Cette classe de cavalier consiste à un réaliser le par-cours suivant: le cavalier doit se rendre jusqu'à unbâton fixé dans le sol à une certaine distance, s'appuy-er le front sur ce dernier et tourner autour plusieurs foisavec son cheval. Ensuite, il doit descendre de sa mon-ture, enlever la selle et la mettre dans une brouette etretourner au point de départ. • Jeune présentation
Présentation d'un cheval au licou par un jeune membrede la Relève hippique du Québec (RHP). Des pointssont accordés selon l'habileté du jeune à présenter lecheval à son meilleur. • Jeune avec cart
Un cheval attelé à un cart est conduit par un jeunemembre de la RHP. Cette compétition est jugée princi- palement sur l'habileté du conducteur. Cette compétition costumée est jugée selon l'originalité deprésentation autant du cavalier que de sa monture.
• Parcours habileté en double
• Billot
Une paire de chevaux attelée à une voiture lourde ou d'expositiondoit réaliser un parcours selon diverses allures. Cette classe est Ce concours d'adresse rappelle l'extraction du bois avec le jugée selon l'adresse du conducteur et des chevaux. cheval. Cette compétition mesure les habiletés du cheval et duconducteur. traction chevaline Largement utilisés autrefois pour les labours et letravail en forêt, les chevaux de trait ont été rem-placés par les machines agricoles. De nos jours, latraction chevaline permet d'évaluer la force deschevaux. Il existe au Québec plusieurs clubs de tractionchevaline dont les membres participent à des con-cours tant au Québec qu'en Ontario et aux États-Unis. Au Québec, cette discipline est régie, entreautres, par le Comité conjoint des races chevalines. Cette compétition consiste à atteler un ou plusieurschevaux à des charges pouvant varier selon la tailledes chevaux. L'Encyclopédie Encarta 1999 faitmention d'un couple de chevaux qui aurait tiré unecharge de 45 tonnes métriques! Les chevaux recherchés pour ce type de compétition sont grands(18 mains) et longs, ont une croupe bien développée, ont d'excel-lents membres postérieurs et beaucoup de volonté. La majorité deces chevaux sont de race Belge en raison de leur force et de leurtempérament, quoique quelques percherons présentent égalementd'excellentes aptitudes. Outre leur conformation, ces chevaux bénéficient d'un entraîne-ment quotidien et d'une alimentation bien équilibrée. Ils sont àleur meilleur entre 8 et 12 ans, mais peuvent concourir jusqu'àl'âge de 20 ans. En fin de semaine, les chevaux concourront dans une des deuxcatégories suivantes: paire de 3400 lbs et moins et paire de3401 lbs et plus.
Source : Guide Le cheval, CRAAQ, 2003
Voici les principales races de chevaux que vous pourriez voir à l'oeuvre durant la fin de semaine. Cheval de selle américain
L'Arabe est une des plus anciennes D'origine très ancienne, le cheval de Cette race s'est développée à partir Ce cheval de selle est le plus réputé races qui soit. Mahomet en fit un des trait belge était utilisé comme monture des premiers sujets que le roi Louis des ambleurs américains. Accomplis- éléments de sa conquête. Il fut aussi de combat au Moyen-Âge. En raison XIV envoya en Nouvelle-France à la sant autrefois des tâches agricoles, utilisé durant les Croisades. de sa force, on l'a par la suite employé fin du XVIIe siècle. La Station de c'est aujourd'hui un cheval d'exhibi- • Taille : 1,42 à 1,55 m pour les travaux agricoles.
recherche en posséda de 1941 à 1981.
tion remarquable.
• Poids : 450 à 500 kg • Taille : 1,60 à 1,85 m • Taille : 1,45 à 1,60 m • Taille : 1,52 à 1,62 m • Robe : gris, alezan, bai et parfois • Poids : 800 à 1000 kg • Poids : 455 à 600 kg • Poids : 450 à 540 kg • Robe : rouan ou alezan • Robe : alezan, bai, bai brun, noir • Robe : alezan, bai, noir Cette race a été développée au 18e siè- Le Hackney, originaire d'Angleterre, Cette race tire son nom du village de Considéré comme la plus ancienne cle en Écosse dans une région où est un authentique poney, non un petit Hafling, en Italie (autrefois Autriche).
race américaine de chevaux légers, le coule le fleuve Clyde. Cheval lourd, le cheval. Sa forme moderne est surtout On croit que sa naissance remonte à la Morgan a aussi été employé pour la Clydesdale est utilisé sur les fermes et exploitée dans les exhibitions où ses fin de l'ère médiévale.
création du cheval de selle américain dans les chantiers forestiers.
allures spectaculaires sont appréciées.
• Taille : 1,34 à 1,47 m et le Hackney.
• Taille : 1,65 à 1,85 m • Taille : 1,24 à 1,44 m • Robe : Toutes les teintes d'alezan • Taille : 1,42 à 1,52 m • Poids : 700 à 900 kg • Robe : bai, alezan ou noir, présence avec queue et crinière blanches ou • Poids : 400 à 525 kg • Robe : bai, noir, gris et rouan fréquente de balzanes • Robe : bai, alezan et noir Paint horse
La race a été introduite par les pre- La race Percheronne est l'une des plus Le Shetland broute l'herbe des îles Les poneys Welsh sont des poneys miers conquistadors. Elle a été adop- anciennes races chevalines françaises.
sauvages, balayées par les vents au anglais originaires du Pays de Galles tée par les Amérindiens qui aimaient Elle est originaire de Perche, en large de l'Ecosse, probablement (Wales) dont on retrouve des traces sa robe, sa beauté et sa force. Normandie, une région réputée pour depuis l'ère glaciaire. Il est un des très anciennes dans l'histoire, depuis • Taille : 1,45 à 1,55 m ses élevages équins. poneys les plus populaires au Canada.
Jules César.
• Poids : Environ 550 kg • Taille : 1,65 à 1,82 m • Taille : 90 cm à 1,05 m • Taille : 1,45 à 1,54 m • Robe : Overo, Tobiano, Tovero, • Poids : 600 à 900 kg • Poids : 135 à 180 kg • Robe : Toutes les couleurs à l'ex- Sabino et Solid color • Robe : gris pommelé, noir • Robe : noir, alezan, bai, gris souris ception des robes pie et tachetées Durant de nombreuses années, la Station de recherche de Deschambault s'est spécialisée dans le perfectionnement d'une race : lacanadienne. C'est à un ancien directeur, André-A. St-Pierre, que l'on doit l'introduction à Deschambault de spécimens de chevaux etde vaches de race canadienne. À partir des années 1940, la Ferme devient le haut lieu de l'amélioration génétique des bovins laitiersde race canadienne et on y produira de nombreux taureaux et vaches célèbres portant le patronyme de La Gorgendière. Aujourd'hui,la vocation de la Station a changé et le CRSAD ne possède plus de sujets de race canadienne. Le gouvernement du Québec a toute-fois promulgué une loi en 1999 établissant le cheval canadien, la vache canadienne et la poule Chantecler comme des races faisantpartie du patrimoine agricole québécois. Cheval canadien Vaches canadiennes Poule Chantecler Le cheval canadien Selon les connaissances actuelles, le cheval canadien a été intro- Pendant près de cent ans, les chevaux se duit en Nouvelle-France en juillet 1665. C'est le roi Louis XIV multiplient en vase clos, sans apport de qui aurait envoyé une première cargaison de douze chevaux. On sang extérieur. Leur origine commune, ne sait pas de quelle race étaient ces chevaux, ni de quelle région l'absence de croisements avec d'autres de France ils provenaient; certains écrits mentionnent les haras races et leur multiplication considérable du roi, d'autres que les chevaux ont été achetés par la Compagnie créent un groupe génétique particulier, qui des Indes occidentales. Ce que l'on sait, avec certitude, c'est que donne naissance à une race unique : le les envois de chevaux se sont poursuivis régulièrement.
cheval canadien. Pourquoi canadien? Parce que, jusqu'en 1867,date de la fondation du Canada, la dénomination «canadien» Les chevaux sont d'abord destinés aux communautés religieuses désigne uniquement les francophones. Le cheval canadien étant et aux gentilshommes les plus zélés pour la culture de la terre. Il d'origine française et répandu en grand nombre, d'abord dans la y a obligation, par contrat notarié, de faire reproduire les bêtes vallée du Saint-Laurent, il est normal, qu'à ce moment-là, on l'ap- reçues, de les entretenir convenablement et de donner, après trois pelle «canadien» ans, un rejeton à l'intendant. Ce rejeton est ensuite remis à uneautre personne qui doit respecter lesmêmes conditions d'entretien et de repro-duction. En cas de non-respect du contrat,des amendes de cent livres sont prévues.
C'est ce système d'élevage, très régle-menté, qui a permis le développementrapide des chevaux dans la nouvellecolonie française. Le mythe du chevalcanadien, vivant dans des conditions dif-ficiles, en prend pour son rhume; on nenéglige pas des bêtes aussi précieusespour le travail et dont l'entretien obliga-toire est assorti d'amendes.
En 1671, comme la Nouvelle-Francecompte amplement de chevaux, l'inten-dant Talon mentionne, dans son rapportau roi, que les envois de chevaux ne sontplus nécessaires et qu'il y en a suffisam-ment pour faire le commerce.
Un employé de la Station,Georges Atkins, prêt pour la randonnée. De 1665 à 1763, la population de chevaux, en Nouvelle-France, passe de 12 à 14 000 bêtes. Jusqu'à la fin du Régime français, en tard, en 1895, la 1760, les chevaux, envoyés par la France, sont les seuls à se Société des éleveurs de chevaux canadiens est fondée par le développer dans la colonie. Il n'y a pas de contacts avec les Dr. J.A. Couture, vétérinaire. Elle s'est perpétuée jusqu'à aujour- colonies anglaises au sud, parce que la France est en guerre avec d'hui. En 1999, le gouvernement québécois reconnaissait le l'Angleterre et interdit tout contact, mais aussi à cause de la bar- cheval canadien comme cheval du patrimoine québécois et, par la rière des Appalaches. Il faut se rappeler, qu'à l'époque, il n'y a pas suite, le gouvernement fédéral faisait de même.
de routes et que les déplacements se font en canot ou à pied.
Caractéristiques de la race
• Taille et robe
Le cheval canadien peut mesurer de 1,45 à 1,60 m. Pour ce qui est de la robe, Une tête courte et rectiligne est posée sur une belle encolure légèrement arquée et elle est le plus souvent noire. Mais les chevaux canadiens peuvent également être assez musclée. Ses épaules sont obliques et musclés. Le garrot est large et bien de couleur brune, baie ou alezane. visible. Le dos est large et court, donc très solide. Sa croupe est longue et large.
L'arrière-main est musclée.
La vache canadienne La race de bétail canadienne est unique au Canada. La fondation est devenue à risque d'être complètement dominée par l'utilisa- de la race est basée sur des animaux importés de la région de la tion incontrôlée de la génétique Suisse brune.
Normandie, en France, de 1608 à 1610. Les importations sub-séquentes ont été effectuées à partir de la Bretagne et de la Heureusement pour la pureté de la race, un frein a été mis à cette Gascogne. On ne possède aucune indication sur le type de bétail pratique et un taureau doit avoir un degré de pureté de 15/16 pour qui a été importé et aucun effort n'a été fait pour élever les dif- être enregistré et utilisé comme géniteur. Pour y arriver, le férentes races séparément. L'effet de «melting pot» a dominé.
MAPAQ a donné un soutien financier à un programme connu Alors que la population restait largement fermée aux autres races, sous le nom de Projet Embryon Plus. Ce projet avait pour objet elle a éventuellement pris une apparence et une conformation qui d'identifier des vaches pures à 100% et de les utiliser dans des lui était propre et a elle été désignée comme la race «canadienne» programmes de récolte d'embryons en utilisant pour les accou- ou «canadienne noire» ou «canadienne française». plements des taureaux eux aussi purs à 100%. Le but était dedévelopper une banque d'embryons avec un degré de pureté de En 1850, le Parlement canadien a été avisé que les bovins de race 100% et de les rendre disponibles périodiquement. En 2000- canadienne étaient les seuls au Québec, sauf pour quelques trou- 2001, 30 embryons ont été mis à la disposition des troupeaux peaux de sujets Ayrshire et Shorthorn. En 1853, le Conseil de membres pour être implantés chez des receveuses dont les veaux l'agriculture a commencé à décourager les éleveurs d'élever ces étaient élevés dans ces troupeaux. Les veaux mâles étaient éva- bovins. C'est ainsi que vers 1880, «il y avait à peine un Canadien lués et les meilleurs étaient sélectionnés pour la récolte de français dans la province qui considérait assez sa vache pour lui semence et leur utilisation comme géniteurs à l'intérieur de la donner plus d'attention qu'à son chien». C'est à ce moment que race. Les femelles étaient aussi inspectées et évaluées afin d'être deux ou trois personnes ont décidé de sauver la race de l'extinc- utilisées comme vaches donneuses dans le cadre du programme.
tion en mettant sur pied une nouvelle association de race. En Une fois que les engagements vis-à-vis des animaux avaient été 1886, un livre généalogique a été ouvert. En 1895, l'Association rencontrés, ils devenaient la propriété du membre à qui apparte- des éleveurs de bovins canadiens français a été fondée. La nou- nait le troupeau où ils étaient nés.
velle race «La Canadienne» demeure aujourd'hui la seule racelaitière à avoir été développée sur le continent nord-américain.
Source : Fondation canadienne des ressources génétiques des animaux de ferme
Le gouvernement provincial du Québec a toujours démontré unvif intérêt pour la race canadienne et, en fait, a conservé son pro-pre troupeau jusqu'à ce qu'il soit détruit lors d'un incendie sur-venu en 1983. Au début des années 1970, le ministère del'Agriculture et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ) s'estinquiété du niveau de consanguinité à l'intérieur de la race cana-dienne et aussi du fait qu'elle était dépassée par les autres raceslaitières en matière d'amélioration de la qualité du pis et de laproduction. La décision fut prise d'introduire la génétique de larace Suisse brune dans la race. Au début, les éleveurs ont été trèsdivisés quant à cette décision. Toutefois, à mesure que les résul-tats ont été connus, de plus en plus d'éleveurs ont adopté cettepratique. En rétrospective, on peut dire que l'introduction dusang de la race Suisse brune a résulté en des améliorations signi-ficatives en matière de performance mais que l'absence demesures de contrôle a mené jusqu'au point où la race canadienne Une vache canadienne à l'étude à la Station en 1943. Caractéristiques de la race
• Couleur
• Poids
Les veaux ont un pelage brun pâle qui devient brun foncé ou noir. Certains ani- À la naissance, les veaux pèsent environ 30 kg. Les vaches atteignent à maturité maux conservent un pelage brun pâle, fauve ou roux. Le poil est généralement un poids de 450 à 500 kg et les mâles de 700 à 800 kg.
plus pâle près de la ligne de dos, autour du museau et près du pis. De façongénérale, la peau du corps est pigmentée de noir. Leur apparence est similaire à celle des Jersey et de certaines anciennes races d'origine normande bretonne.
Productrice très efficace, la canadienne est reconnue pour le niveau élevé de graset de protéine de son lait.
La poule Chantecler Le poulet Chantecler est issue d'une race Le frère Wilfrid réalisa qu'il devait mixte, dérivée des races suivantes : faire des changements majeurs et il a Cornish foncée, Leghorn blanche, Rhode- décida d'utiliser un gros mâle Island rouge, Wyandotte blanche, Plymouth Rock blanc avec les Wyandotte de Colombie et Plymouth meilleures poulettes. En 1913, un Rock blanche.
abattage intensif ayant amélioré laprogéniture, il divisa ces oiseaux en En 1908, le frère Wilfrid était responsable deux groupes. Dans un des deux, il fit de la cour des volailles à Oka et lorsque de l'élevage en consanguinité et, dans son père lui rendit visite, ils réalisèrent l'autre, il utilisa un bon mâle de race tous les deux que toutes les races de Wyandotte blanche.
volaille à Oka provenaient soit de l'Eu-rope ou des États-Unis. Le frère Wilfrid photo : Site Internet - Ferme de Lescaut En 1916, il crut qu'il était sur le décida qu'il devait remédier à cette situa- point de produire la race qu'il tion et il consacra de nombreuses heures à planifier la façon dont désirait, sauf en matière de poids corporel. Vers le printemps de il pourrait développer une race de volaille qui serait unique au 1916, il obtint une grosse poulette qui pesait 3,5 kg (soit 1 kg de plus que les standards actuels pour la race). Malgré sa grosseur,la poulette produisit 90 œufs en 120 jours.
Il décida que ce devrait être une race à deux fins, blanche, capa-ble de bien pondre pendant l'hiver et, par dessus tout, dotée d'une À ce stade, il décida de prendre le risque d'accoupler cette crête et de caroncules qui devraient relativement bien résister au poulette avec un gros mâle Plymouth Rock blanc pesant 4,55 kg.
gel. Il étudia toutes les races de volaille disponibles à Oka et il En 1918, les meilleurs mâles issus de l'accouplement entre le décida que la première race à être utilisée devrait être la Cornish, lourd mâle et la lourde femelle furent accouplés avec les à cause de ses petites crêtes et caroncules. Pour améliorer la pro- meilleures poules faisant partie des groupes divisés en 1913.
duction des œufs, il accoupla un mâle Cornish avec une femelleLeghorn blanche. La progéniture issue de ce croisement était de Une association, mise sur pied en 1918, adopta des règlements couleur grise mais ne donnait pas une viande de qualité.
stricts visant à contrôler la consanguinité et la propriété. Un Le deuxième croisement au cours de la première année fut effec- membre ne pouvait vendre, louer, prêter, donner ou échanger tué avec un mâle Rhode Island rouge et une femelle Wyandotte aucun oiseau vivant de la nouvelle race, ni vendre des oeufs en blanche, ce qui résulta en une progéniture blanche avec des ta- coquille à quiconque n'était pas membre de l'association. Il était ches noires. Toutefois, il y eut un beau sujet mâle qui naquit avec aussi exigé que l'association ait une liste complète des oiseaux la vraie couleur Wyandotte de Colombie. propriété des membres. Cela ne serait pas une mauvaise idéeaujourd'hui, considérant la rareté des races de volaille.
Croyant que la femelle transmettait la couleur des plumes et lemâle la conformation, le frère Wilfrid décida d'accoupler ce mâle La Chantecler blanche fit l'objet d'une grande publicité à la pre- avec les femelles issues du premier croisement qui présentaient mière conférence canadienne nationale sur la volaille en 1919 et les plus belles couleurs. La progéniture qui a résulté de ces fut officiellement reconnue en tant que race en 1921.
accouplements était d'un blanc légèrement teinté et la majoritéavaient les caractéristiques de la race Cornish. Malheureusement,leur production d'œufs était faible et la couleur n'était pas stan- Source : Fondation canadienne des ressources génétiques des animaux de ferme
Caractéristiques de la race
• Poids
Les mâles pèsent entre 3,4 et 3,9 kg et les femelles entre 2,5 et 3 kg.
Jusqu'à 210 œufs par année. Les œufs pèsent entre 58 et 60 g.
Couleur
Blanc pur avec une peau jaune. La seule autre couleur que le blanc est la couleur La population mondiale est estimée à 1750 à 2250 sujets. La plupart des poulets «perdrix» qui a été développée de façon indépendante en Alberta et acceptée à l'extérieur du Canada sont aux États-Unis. Quant à la population canadienne comme race en 1935.
actuelle, elle est de 1000 à 1500 sujets. Nos commanditaires Nos commanditaires Nos commanditaires

Source: http://www.crsad.qc.ca/uploads/media/programme_officiel_90_ans.pdf

Rodent and human trials of the testosterone modulating experimental nutraceutical taxadrol

Golini, J Biosens Bioelectron 2015, 6:3 Biosensors & Bioelectronics Rodent and Human Trials of the Testosterone Modulating Experimental Nutraceutical TaxadrolJeff Golini* All American Pharmaceutical and Natural Foods Corporation, Billings, Montana, USA Background: Testosterone therapy is commonly used by individuals dealing with testosterone deficiency (TD).

Reglamento que rige a

REGLAMENTO QUE RIGE A LOS COMITÉS TÉCNICOS DE LA ASTM Publicado en abril del 2012 REGLAMENTO QUE RIGE A LOS COMITÉS TÉCNICOS DE LA ASTM Standards Worldwide Alcance de la Asociación La asociación se formó para el desarrollo de normas sobre las características y rendimiento de materiales, productos, sistemas y servicios, y para el fomento de los conocimientos afines. En terminología de la ASTM International, las normas incluyen métodos de ensayo, definiciones, prácticas, clasificaciones y especificaciones. Advertencia La ASTM International ha autorizado la distribución de esta traducción del Reglamento que rige a los Comités Técnicos de la ASTM, pero reconoce que la traducción ha sido sometida a un proceso de revisión limitado. La ASTM no afirma ni garantiza que la traducción sea técnica ni lingüísticamente fiel. Solamente la edición en inglés publicada y con derechos de autor de ASTM deberá considerarse como la versión oficial. Queda estrictamente prohibida en virtud de las leyes de derecho de autor estadounidenses e internacionales la reproducción de esta traducción sin el consentimiento escrito de la ASTM. La versión inglesa íntegra de Regulations